Le gallo-roman ne développe pas de traits morphosyntaxiques le différenciant significativement des autres langues romanes de l’époque.
Il renonce aux formes synthétiques du comparatif et du superlatif pour des formes analytiques composées de l’adverbe plus, comme en attestent les Gloses de Reichenau :
saniore pro plus sano (Gloses de Reichenau, n° 60)