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Pièce 3 : Cy commence la dolente et piteuse complainte de l’eglise moult desolee au jour d’ui (MCCCXCVII)

[13 avril 1393]
La povre mere tresdolente, desolee et desconfortee, de laquelle les entrailles sont tranchees et divisees en deux parties pour le pechi" et abhominacion de se enfans forlignans de la voye [de] justice, meurs et condicions de leur Pere pardurable, a tous les empereurs, royas et princes de la religion chrestienne, a leurs conseilliers, justiciers, presidens et gouverneurs de la chose publique, mes filz adoptéz et legitimes, rachatéz pour l’amour et le sang de leur pere, salut en la pitié et misericorde d’iccellui.
Treschiers filz, ausquelz l’esperit de intelligence et de sapience est par leur Pere donné par sa grace pardurablement, nature insachable, et qui par vostre franc arbitre gardans ses commandemens pouéz congnoistre avecques les angelz et le secret des plannettes erratiques, ensamble le mouvement et la maniere de la disposicion du firmament et resister a la male influence d’iceulx, [401a] vous qui estes fais a la forme et semblance de nostre pere, comment estes vous si degenerens et diviséz ensamble que vous contre loy forligniéz en toutes maniers des condicions et establissemens de vostre pere qui est es cieulx, de qui vous tenéz tous vos empires, royaumes et seignouries, qui a pluseurs les a ostéz et deposéz de leurs dignites en un moment, ingrades, non congnoissans ses beinfaiz, perceverens en leurs couvoitises et iniiquitéz dolereuses, par la verge et reservacion de sa vengence, comme il fist anciennement a Nabugodonosor, a Balthazar, roys de Babiloine, a Dayre de Perse et a pluseurs autres princes couvoiteux et orgueilleux, et les humbles et debonnaires a eslevéz et exauciéz, qui sont demouréz en la paour d’icellui ?
Pour ce que le commencement de toute sapience est craindre Dieu, pour quoy vouléz vous servir et servéz au Prince du monde, c’est l’ennemi de la char et homicide de l’ame, tendens a vostre destruction, qui par son orgueil, angelz jadis portans lumiere[1], soy voulant eslever sur son Seigneur, est aiz Princes de tenebres, desvoyans par temptacions de choses mondaines voéz pensees divines, desirans pour la perdicion de sa gloire inrecuperable avoir compaingnons a ses peines, qui par couvoitise, orgueil et pechié de char vous a seduit, et pour sa seignourie avoir mis entre vous guerres, haienes, [401b] traisons, fait destruire vos peuples, espandre le sang humain, violer les vierges, ocire les innocens, destruire mes temples, ravir les choses saintes par mains sacrileges, en destruisant et anichillant le patrimoyne de vostre Pere et perdant l’eritaige de son royaume par vostre mauvais et foul consentement, donnant vos esperis au dit Prince de tenebres, avecques voz charongnes morteles, pour la ocuvoitise de terres, seignouries et possession acquerir, qui ne vous puelent durer, et lesquelles vous laisseront en finant, ou vous les lairéz en mourant ?
Helas ! my enfant, souviengne vous du grant roy Alixandre tant renommé et si fortune que en.xii. ans soubmist a soy par sa couvoiteuse volunté les monarchies et seignouries ds.iiii. parties ud monde, et se doloit et souspiroit a soy meismes pour la petitesce du monde par lui conquis, ou quel ne se pouoit trestorner, ce lui sembloit, desirans et esperans guerre faire aux infernaulx, efforçans soy de trouver un autre monde, lequel.iii. jours aprés sa dolereuse pensee, a qui tout le monde ne suffisoit pas, fut par venin empoisonné, et fut contente la povre charongne d’icellui de l’espace de cinq piéz de terre.
O com tresgrant et tressolempnel exemple de non desirier les choses terriennes [401c] aux corps transitoires et decourables par cas d’accident en nature ou par aige meur, qui a paine puet passer.lx. et.x. ans, au mieulx venir, sanz doleur de corps et affliction d’esperit, car tous estes faiz comme pelerins en ce monde, pour y trespasser, non pas pour demourer !
O vous qui avéz oreilles pour oir et oeuls pour veoir, regardéz la difference que vostre Pere a mis entre les bestes brutes et vous, bestes raisonnables ; lesquelles bestes brutes ont .iiii. piéz en terre et les testes cornues, regardans en ycelle, demoustrant en regardant la terre qu’elles desirent tant seulement emplir le parfont de leur ventre des pastures d’icelle, desqueles l’esperit muert avecques elles.
Mais vous avéz forme contraire, eslevee sur deux pilliers, la teste ronde comme est le firmament, ou vous avéz deux luminaires, en figure du souleil et de la lune, et les corps respirans regardans par veue eslevee ou firmament et en la hautesce du ciel, en signe et demoustracion que vous estes eslevéz et devéz tendre aux choses haultes et pardurables, non mie aux vanitéz de la terre, fors tant seulement a la souffisance de vostr vie humaine, pour la soustenir et mener jusques au terme qui lui est donné de Dieu, qui ne puet estre trespassé.
Lasse ! lasse ! chetives sont ces richesces mondaines, comme dit Boece, de Consolacion ou tiers livre, car si tost comme on les commence a acquerir, on delaisse a estre seur.
Pour quoy, mes enfans, ne adver[401d]tissiéz vous que les bestes naturelment retraient a la nature de leurs peres ou de leurs meres en force, en legierté ou en foiblesce ?
Et vous qui avéz ame intellective, loy et exemple de vostre pere, qui tant souffrit pour vous que il vous daingna rachater de son precieus sang, et qui vous laissa exemple de vivre a sa dotrine, en vous moustrant par saint Mathieu, son apostre et euvangeliste, .viii. commandemens et Beatitudes, par lesquelz iceulx gardans, vous ne pouéz faillir a son heritaige, et que vous n’aiéz la boneureté souveraine.
Cy commence la premiere beatitude
La premiere si est ou il commande que vous soiéz povres d’esprit pour l’amour de lui[2], c’est a dire que voste esperit ne soit pas mis en richesches de ce monde, mais qu’il ait et aime povreté voluntaire, si comme vostre pere l’ama, liquelz dist en sa glorieuse possion que ses royaumes n’estoit pas de cest monde, et a ceuls qui aument ceste povreté est deu le royaume des cieulx.
La iime
Le seconde beatitude est que vous soiéz humbles e debonnaires les uns aux autres et a voz subgiéz, sans contendre par pechié couvoiteus des terres, seignouries et couvoitises du monde desraisonnables.
Benois seront ceuls qui ainsi le feront, car les debonnaires et humbles princes possideront plus la terre que les [402a] couvoiteux et orgueilleux, et pour ce dist le doulx Sauveur Jhesu Crist : […][3]
De la tierce beatitude
La tierce Beatitude si est de plourer ses pechiéz et les pechiéz de ses proismes, non pas y estre obstinéz et perserverans comme fut Pharaon, roi d’Egipte, qui pour les dix plaies que nostre Seigneur lui envoya pour ses pechiéz et pour la persecucion qu’il fist et faisoit en son peuple d’Israel, combien que il priast, a chascune plaie venant, a Moyse, sergent de Dieu, qu’il la feist cesser, et il s’amenderoit et relascheroit la chetiveté du peuple, laquele plaie commencee a chascune foiz, cessant par Moyse, ne s’amenda le dit Pharaon et son peuple estant ou milieu d’icelle, se reclost, et illecques les absorba et submerga en la perseverence de leurs pechiéz, depuis lequel jour et en signe deceste vengence et pugnicion, est appellee la mer rouge, et pour ce dist vostre pere : [...][4]
Cy parle de la quarte beatitude
La quarte beatitude est que vous devéz avant soufrir grant famine et pestillence de faim [402b] ou de mort, que vous osiéz separéz de vraie justice, laquele vous devéz faire a un chascun sanz accession de personne, dont il est escript : [...][5]
Cy parle de la quinte beatitude
La quinte beatitude si est que vous faciéz misericorde a voz prochains, c’est assavoir aux oppressez, povres et debilites et a ceuls qui mesprannent d’aventure, en faisant vostre grace et misericorde au relevement d’iceuls en toute charité et bonne affection, et vous ne pourréz faillir que vous ne obtenéz de vostre pere misericorde, dont il est dit : [...][6]
De la siziesme beatitude
La .vie. betatitude est que vous soiéz net de l’ordure de pechié charnel et autre, en fait et en pensee, et que vous ne dictes ne proferéz nulles choses laides ne ordes de la pensee de vostre suer.
Et sur ce dit Seneque qu’il croit tout vice estre tollerable par dotrine, excepté la laidure et vice de parler desordonneement et glotement deb ouche par acoustumance de perseverer en ce pechié, qui est tresvituperable et congnoissable de la conscience et destableté de la pensee d’un chacun, et pa especial en prince, qui par sa langue fait congnoistre se il est dedenz son corps de vices corrumpus et de males meurs.
Et pour ce dit nostre [402c] sauveur : [...][7]
Cy parle de la septiesme beatitude
La septiesme beatitude est que vous aiéz et améz paix entre vous sanz couvoitise de ces choses terriennes, dont vous mouvéz si merveilleuses et perilleuses guerres contre voz corps et voz ames, et vous vouléz estre appelléz filz de Dieu, et pour ce dist il : [...][8]
La huitiesme beatitude
La huitiesme beatitude est de paciemment souffrir persecucions pour le fait de garder bonne justice, et de ce vous sera grant gloire remuneree, et pour ce dit il : …
Mais ainsi comme il appert au jour d’uy clerement entre vous, qui par l’dopcion de vostre pere rachatant, et par la regeneracion et lavement que vous prenéz en sains fons de baptesme, destruisiéz l’un l’autre, freres et enfans d’un pere et d’une religion crestienne, en alant contre sa divine loy et ses sains establissemens, faisans le contraire en toutes choses des beatitudes dessus dites, vous envoye les persecucions mondaines, dont je, vostre povre mere, espouse et fille du doulz Sauveur Jhesu Crist, vostre pere, que vous avéz tant de fois regnié et faictes encore chascun jour en advouant et servent le prince de tenebres, pour lesquelles choses et pour la merveilleuse couvoitise et pechiéz desordonnéz qui sont en vous et es ministres de ceuls qui doivent servir a moy, povre Eglise, presentement desolee, [402d] suis envahie de deux soy disans mes espoux, qui par foce et violence veuelent mon unité couvoiteusement tranchier en deux et efforcer ma voulenté par le default de vous, mes enfans et ministres, qui deussiéz garder et deffendre vostre povre mere, qui vous a mis et baptisiéz en ce monde par l’eaue de son creatour es fons de baptesme, dont vous avéz esté lavéz du pechié originel et de la dampnacion perpetuele, se vous voulsissiéz garder sainctement et honnestement sanz mauvais consentement de l’ordure de pechié ce saint lavement, par lequel avecques les commandemens de la loy la joye pardurable vous estoit octroyee.
Mais les dessencions, rapines, guerres, traisons, couvoitises, envies, detractions, murmures et glotonnies, dissolucions de corps, larrecins, homicides et autres pechiéz innumerables qui sont en vous perseverens sanz paour ne crainte de vostre pere, et ce que vous estes diviséz ensemble, font [que] vostre povre mere a qui vous avéz tollu et osté de ses entrailles et encores faictes de jour en jour ses posessions, franchises, douaires et libertéz qu’elle tient de vostre Pere, et qui la constitua en son lieu pour vous recreer sounz le gouvernement d’une seul pastour fait et eslu sainctement et canoniaulment, toutefoiz que vous vouldriéz venir a refuge de [403a] voz maulx, confesser yceuls et repentir de voz pechiéz en honne contriciton, est ainsi troublee et divisee par long temps et en adventure d’estre a tousjours mais en desolacion par vostre coulpe en division, se vous n’estes ces choses briefment considerans.
Pour quoy, treschiers et améz filz et enfans, je vous ennorte et requier piteusement et humblement comme vostre mere, et prie pour amour et compassion de vostre pere le doulz sauveur Jhesu Crist, que eue consideracion a sa grant humilité et a ce que pour vostre redempcion il voult prandre la fourme de son serf et vostre povre fragilité, soy offrir ou tourment de la croix et la saincte forteresce de son corps percier et ouvrir en cinq lieux pour arrouser et vivifuer vous, ses enfans, pour la grant amour qui du ciel le fist ça jus descendre, afin de vous touz rachater voult comme homme mourir et vaincre la mort en mourant, estre sepulturéz et au tiers jours relever en sa lumiere et aler ou lymbe des peres, rompre les enfers et en getter ses amis en acomplissant le triumphe de sa glorieuse victoire, vueilléz desister de toute voie pecheresse, couvoiteuse et dampnable en reformant entre vous tous crestiens, roys et princes de la crestienté et ministres de moy dolereuse et divisee, les querres, dissencions et ambicions estas au jour d’uy entre vous touz, en gardant et tenant d’ores en avant en vos courages les.viii. baetitudes dessus decla[403b]rees chascun en droit lui, en telle maniere que par la bonne union qui entre vous de ceste crestienne religion sera reformee, vous puissiéz emprandreen grant devocion la vengence des ennemis de vostre pere et de sa loy, le sepulcre duquel lesSarrasins teinnent ensi grant vilté, des le temps de sa sepulture, par les chevaliers qui a la requeste des faulx Juigs qui le crudifierent, y furent mis et encores sont par Pillate, et lesquelz Juifs, voz ennemis, que vous laissiéz par usure et couvoitise vire et habiter entre vous, manguent et destruisent la substance de voz peuples, extirper yceulx, et restablir la Saincte Terre es mains de vostre pere.
Et moy par Concile General ou autrement deuement, et par vostre bon ayde, puisse estre une seule mere et Eglise universele a touz, si que je n’aye que un seul et vray espoux. Et que la trencheure du cisme qui si detestablement m’a voulu et veult faire adultere, cesse du tout, me face et rende la verité, vraie mere de la foy catholique, si que par vostre deffault et negligence je ne soye adultere clamee et que mon voile ainsi trenchié et divisié ne puist engendrer a aucun heresie ou crime de foy par les voulentéz tenans a chascune des deux parties, moy voulans occupper, prandre et ravir en maniere de proye.
Et ad ce pacifier et acorder, pour oster la guerre del’ame et des corps, devéz entendre et labourer en toutes manieres que faire le pourréz, comme principaument [403c] vos dignitéz royaulx soient abstraintes, tenues et ordonnees de garder, soustenir et defendre de toute oppression moy, vostre mere, saincte Eglise, et d’esposer en ce vos propres corps pour moy mettre en unité, a ce que tousjours je puisse triumpher et vivre en paix en rendant a Dieu sacrifices et prieres pour le sauvement de voz ames, pour l’utilité de voz royaumes temporelz et de voz peuples, pour lesquels deffendre, vous furent de Dieu vostre pere et a vostre chevaliere les terres et possession terriennes donnees avec l’obeissance d’iceuls peuples, et par ainsi ces deux paix, temporele et espirituele, reformees, se pourroit par vous legierement la Saincte Terre conquerir et les mauvaises lois des ennemis de la foy mettre a la vraye loy de Jhesu Crist, en faisant lesqueles choses, repentans de vos iniquitéz anciennes, pourréz conquerir et avoir le royaume de Paradis, se en vous le tient, et le douaire de moy, vostre mere, maintenir et acroistre, et icelli faire perpetuer soubz mon gouvernement par le monde universel.
Et vraiement bien deveriéz avoir ces choses fermees en vostre cuer, comme tous enfans soyent naturelment indignéz et tenuz de vengier et mettre a fin l’injure et violence faicte a leur mere singuliere, et vous par plus forte raison a moy, qui suy la mere de tous !
Car se par vous n’est [403d] a ces choses adverti et pourveu par pitié et misericorde, je doubte que l’ire et la vengence de Dieu que vous avéz tant troubl" et despité en alant contre ses divins commandemens, et ce qui en est dit par la bouche des prophetes Ysaie, Jheremie, Sebile Uritree et autres en pluseurs pas de la Saincte Escripture, ne viengne et descende briefment par dessus vous et que voz seignouries et monarchies ne soient transportees en autres voz ennemis, comme fut le peuple de Jherusalem en Babiloine.
Et que vous ne soiéz pugnis, perseverens en voz pechiéz, comme fut Pharaon et son peuplen memesment que vostre Pere, mon doulz espoux Jhesu Crist, vous a batuz de ses verges de bois et moustré pluseurs exemples de son indignacion pour vous corrigier, et dont vous ne estes venuz a aucun ou trop pour d’amendement.
Si craing trop qu’il ne vous bate et pugnisse en ses verges de fer, pour laquelle pugnicion eschiver et remouvoir, vous admonneste et prie piteusement, comme emere, que vous vueilléz vous admender et crier mercy a votres pere, lequel en tous temps est piteables et pardonnans toutes iniquitéz aux repentans, comme il fist a ceulx de la cité de Nynyve, ausquelz il remist pour leur affliction et repentence la submercion d’eulx et de leur cité, dicte [404a] de lui par la bouche de Jonas le prophete.
Ainsis et semblablement par sa douce pitié et misericorde, vueille mettre en voz couraige l’obeissance et perseverence de sa saincte loy et remouvoir la vengence et persecucion promise a ceuls qui percevereront en mauvaises euvres contre ses sains commendemens, afin que par la bonne paix et union que vous reformeréz ensemble, tant espirituelment comme temporelment, vous puissiéz placquer son ire et lui appaisier telement que vous en acqueréz renommee pardurable en ce monde et aprés a voz ames la couronne de gloire et le royame qui durra sanz fin, et que par vostre bonne reformacion je puisse de vous chanter a tousjours hympnes et louenges de memoire pardurable a l’oneur, gloire et exaltacion de la Saincte Trinité, le Pere et le Fil et le Saint Esperit, un Dieu en trois personnes, qui vit et regne par tous les secles des secles.
Amen.
Escript en mon povre palays, assiegé de discorde et de division perilleus,e attendans vostre secours par le moyen de oroison, impetrant la dicine puissance au relevement de la saincte foy catholique, de vous et des ames en ce cisme perilleusement tresp assees, le.xiiie. jour du moys d’avril aprés Pasques, l’an de grace Nostre Seigneur mil. ccc. .iiiixx. et treize.
Ceste epistre fist et compila Eustace des Champs, dit Morel, au traictié de la paix des.ii. rois de France et d’Angleterre, estans pour lors a Lolinghem, et la mist de latin en françois au commandement de Monseigneur de Bourgongne.
R. Tanguy


[1] Ms. luniere

[2] Note de Raynaud : Dans le ms. le litre ne vient qu’après cette première phrase. il y a ici une lacune qui n’existe pas dans le texte latin.

[3] Il manque un passage de l’Écriture cité par le texte latin.

[4] Il manque un passage de l’Écriture cité par le texte latin.

[5] Il manque un passage de l’Écriture cité par le texte latin.

[6] Il manque un passage de l’Écriture cité par le texte latin.

[7] Il manque un passage de l’Écriture cité par le texte latin.

[8] Il manque un passage de l’Écriture cité par le texte latin.

Mais non, vous ne vous êtes pas perdu !

 

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