S’assurer que l’on est en mesure de lire correctement un poème médiéval, en langue française comme en langue provençale, va permettre d’en donner la « formule », pour reprendre l’expression de Benoît de Cornulier (1980 et 1995), préalable à toute analyse poétique – du moins si on entend par « analyse poétique » autre chose qu’une paraphrase impressionniste.
La formule du poème est perçue ici comme le fondement sur lequel repose toute analyse analyse et dont une telle analyse ne saurait faire l’économie.
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